Vendredi 24 mai 2019 – Voyage de fin d'année à Amboise - Le Clos Lucé - Château-Gaillard
Très belle journée dans la vallée de la Loire pour visiter la
ville d'Amboise.
Les participant(e)s se séparèrent en deux petits groupes de 25 personnes, pour une visite plus confortable.
Pendant près de deux siècles,
l’histoire du château royal d’Amboise s’est intimement
confondue avec la grande Histoire de France.
Palais grandiose des
rois Charles VIII et François Ier à la Renaissance, lieu de
sépulture de Léonard de Vinci , il constitue un témoignage
exceptionnel des profonds changements qui se sont opérés en Europe
aux XVème et XVIème siècles.
Tout au long de cette journée la présence de Léonard de Vinci a été évoquée, surtout en cette année de commémoration du 500ème anniversaire de sa mort, ici à Amboise.
Beaucoup d’événements heureux ou tragiques s'y sont déroulés : la naissance de Charles VIII qui était attaché à son château d'enfance, sa mort accidentelle, mais aussi la Conjuration d'Amboise (1560), qui s'acheva par la pendaison des meneurs au balcon du château.
Il y eut beaucoup de destructions au cours des siècles. On peut voir sur des plans anciens l'emprise importante des bâtiments. Les diverses salles, parfois très abîmées, ont été restaurées, les cheminées et plafonds refaits dans l'esprit de la Renaissance. De la terrasse surplombant la Loire, on a une vue exceptionnelle sur la ville, le fleuve et sur les magnifiques jardins recréés.
Après un déjeuner libre, visite du CLOS LUCE.
Mathurine, la cuisinière de Léonard , accueille nos deux groupes pour une visite théâtralisée.
Ancienne résidence de plaisance des rois de France, François 1er offre la jouissance de ce domaine à Léonard de Vinci qu'il nomme « premier peintre, ingénieur et architecte du Roi ».
Léonard séjourne au Château du Clos-Lucé les trois dernières années de sa vie et travaille à de nombreux projets, pour le roi de France, entouré de ses élèves.
Son habitation et son atelier ont été reconstitués dans les diverses salles du manoir.
Après la visite, promenade reposante dans le parc, pour admirer les inventions de Léonard reconstituées et des reproductions de ses œuvres majeures semées ici et là dans la nature.
Ancien domaine royal de Charles VII, Château-Gaillard domine un parc d’une quinzaine d’hectares, aménagé sur d’anciens marais.
Exposé au sud, abrité des vents du nord, ce site bénéficie d'un
microclimat comparable au climat méridional.
François 1er offre Château-Gaillard à Don Pacello, venu d'Italie avec Charles VIII.
Il réalise les premières acclimatations
d'agrumes et de pêchers (il est l'obtenteur de la « reine-claude »)
et crée la première orangerie royale française.
Devant le château, les huit "grands parquets" , dégageant pour la première fois la perspective axiale, forment un parterre monumental qui, autrefois, était entouré d'un jardin clos d'1 hectare, délimité par des murs de plus de 3 mètres de hauteur.
Redessiné depuis 2012 et planté de végétaux, il recrée l'ambiance et l'atmosphère micro-climatique de l'an 1500.
Il est à noté que le passage des visiteurs du château, dans un chemin privé, n'est pas du goût des riverains qui le font savoir par des petites affiches placardées le long de leurs propriétés.
Les participant(e)s se séparèrent en deux petits groupes de 25 personnes, pour une visite plus confortable.
CHATEAU d'AMBOISE
Pendant près de deux siècles,
l’histoire du château royal d’Amboise s’est intimement
confondue avec la grande Histoire de France. 
Palais grandiose des
rois Charles VIII et François Ier à la Renaissance, lieu de
sépulture de Léonard de Vinci , il constitue un témoignage
exceptionnel des profonds changements qui se sont opérés en Europe
aux XVème et XVIème siècles.
Tout au long de cette journée la présence de Léonard de Vinci a été évoquée, surtout en cette année de commémoration du 500ème anniversaire de sa mort, ici à Amboise.
Beaucoup d’événements heureux ou tragiques s'y sont déroulés : la naissance de Charles VIII qui était attaché à son château d'enfance, sa mort accidentelle, mais aussi la Conjuration d'Amboise (1560), qui s'acheva par la pendaison des meneurs au balcon du château.
Il y eut beaucoup de destructions au cours des siècles. On peut voir sur des plans anciens l'emprise importante des bâtiments. Les diverses salles, parfois très abîmées, ont été restaurées, les cheminées et plafonds refaits dans l'esprit de la Renaissance. De la terrasse surplombant la Loire, on a une vue exceptionnelle sur la ville, le fleuve et sur les magnifiques jardins recréés. Après un déjeuner libre, visite du CLOS LUCE.
Mathurine, la cuisinière de Léonard , accueille nos deux groupes pour une visite théâtralisée.Ancienne résidence de plaisance des rois de France, François 1er offre la jouissance de ce domaine à Léonard de Vinci qu'il nomme « premier peintre, ingénieur et architecte du Roi ».
Léonard séjourne au Château du Clos-Lucé les trois dernières années de sa vie et travaille à de nombreux projets, pour le roi de France, entouré de ses élèves. 
Son habitation et son atelier ont été reconstitués dans les diverses salles du manoir.Après la visite, promenade reposante dans le parc, pour admirer les inventions de Léonard reconstituées et des reproductions de ses œuvres majeures semées ici et là dans la nature.
Tout près du Clos Lucé, CHATEAU-GAILLARD nous a réservé une
bonne surprise.
Ancien domaine royal de Charles VII, Château-Gaillard domine un parc d’une quinzaine d’hectares, aménagé sur d’anciens marais.
Exposé au sud, abrité des vents du nord, ce site bénéficie d'un
microclimat comparable au climat méridional.François 1er offre Château-Gaillard à Don Pacello, venu d'Italie avec Charles VIII.
Il réalise les premières acclimatations
d'agrumes et de pêchers (il est l'obtenteur de la « reine-claude »)
et crée la première orangerie royale française.
Devant le château, les huit "grands parquets" , dégageant pour la première fois la perspective axiale, forment un parterre monumental qui, autrefois, était entouré d'un jardin clos d'1 hectare, délimité par des murs de plus de 3 mètres de hauteur. Redessiné depuis 2012 et planté de végétaux, il recrée l'ambiance et l'atmosphère micro-climatique de l'an 1500.
Il est à noté que le passage des visiteurs du château, dans un chemin privé, n'est pas du goût des riverains qui le font savoir par des petites affiches placardées le long de leurs propriétés.
ANDREE MESLIER-BELLARD